Inégalités entropiques

Échelles entropiques selon les modèles et les notions entropiques MII VS MI : Utilisation et acquisition d’information manquante : interprétation de synchronicité altermondaine (SA) en terme d’information.

Ontologie : être-là : mode de l’existence; être-ici-et-là : mode de la SA

Facteur de correction du MII Interprétation des passages intermondains en terme d’entropie.

Spéculation entropie métaphysique en sciences naturelles : physique, biologie.

Entropie minimale et correspondance au modèle MO à monde unique : incertitude nulle.

Entropies intra et intermondaine nulles.

Entropie maximale et correspondance au modèle MIII aléatoire, principe de raison suffisante et principe d’indifférence avec mondes équiprobables et indépendants.

Incertitude maximale, amenant à savoir ce qu’on ne sait pas.

Bornes des échelles d’entropie.

Notion d’entropie personnelle intermondaine

Notion d’entropie personnelle intramondaine

Analogie avec la mécanique statistique des gaz

Modèle à monde unique MO et entropie minimale

Modèle I, II, III

Classements entropies personnelles.

Etat initial et état final : mesure variation entropie

Variables : nombre de monde(s) (et configurations intermondaines); probabilité(s) intramondaine(s), nombre de personnes

Notion d’entropie intermondaine en tant que connaissance hypothétique, mesure de l’incertitude dans la configuration intermondaine dans les modèles intermondains MI, MII, MIII et dans le modèle M0

Formule

Notion d’échelle intermondaine permettant un classement des modèles.

Notion d’entropie intramondaine en tant que mesure de la probabilité moyenne d’être en un monde donné par rapport à la configuration générale.

Formule Entropie intramondaine dans les différents modèles intermondains MI, MII, MIII et dans le modèle à monde unique M0. Relation à l’entropie intermondaine.

Présentation de la notion d’entropie dans notre métaphysique des mondes. Prérequis conseillés :

– « Le temps et sa flèche » : sous la direction d’Etienne Klein et Michel Spiro; le texte de Roger Balian : « Le temps macroscopique »

– « La théorie mathématique de l’information » : de Claude Shannon, commentaire de Warren Weaver

Plan

Introduction de la notion d’entropie depuis la physique (thermodynamique, physique statistique) et la théorie de l’information : incertitude, information à connaître

Introduction des notions de configuration intermondaine, de probabilité intramondaine, de distribution personnelle intra et intermondaine, classement des modèles, fonction entropie et ses propriétés.

Un récapitulatif de l’ensemble de nos deux conceptions du temps :

-Un temps transcendantal, métaphysique, absolu, a priori, duquel déclinent personnes et mondes, ainsi que l’irréversibilité des lignes de vie existentielles, les actualités intermondaines, les temps intramondains des physiciens : Modèle I, II, III

-Un temps accord(éon) émergeant d’une structure mathématique, qui résout la question du discret et du continu par la sérialité de ses événements, les soupçons concernant les biais cognitifs mis en évidence dans la littérature policière notamment, les questions du passé et du futur mis en évidence par la mécanique quantique : Modèle IV

Bibliographie : Pierre Bayard : La vérité sur dix petits nègres. Marcus Du Sottoy : Ce que nous ne saurons jamais.

A travers les modèles étudiés, quelles sont les notions qui persistent? Que nous apprend cette invariance qui s’inspire des mathématiques et de la physique? L’absence d’invariance (nous prendrons comme exemple la notion de temps) est-elle une clé, un symptôme? De quoi? Idem avec les symétries : où sont-elles au travers des modèles étudiés et que nous apprennent-elles? (L’intrication quantique sera évoquée dans la notion de symétrie).

Où placer la vérité dans le schéma (qui est un modèle) : Pensée, modèle, représentation?
La vérité est-elle à mettre au même niveau que l’information, la spéculation, la création?
Quel lien y a t’il entre les sommets des pensées métaphysiques, mathématiques et la vérité?
Cette vérité, que les sciences, philosophies et religions recherchent très souvent, n’est-elle pas en réalité une contrefaçon tautologique de la pensée adossée à un modèle donné pour une représentation explicitée?

Comment réconcilier Physis et Psyché?
Les Modèles I, II et III, basés sur un Temps métaphysique proposent une solution.
Mais, comme la Science, nous butons alors sur une question de taille : celle de la conscience : où, quand, comment?
Nous aurons alors recours au Modèle IV qui dynamitera la question métaphysique et scientifique du temps, sera alors proposé une solution à la question de la conscience et un autre éclairage scellant une réconciliation plus que jamais possible entre Physis et Psyché.